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Mes lectures #58 : La femme aux fleurs de papier de Donato Carrisi

jeudi 10 mars 2016

Et voici le premier des livres lus en 2016 !! Reçu pour Noël, je me suis lancé dans La Femme aux fleurs de papier de Donato Carrisi comme première lecture de l’année 🙂

Le synopsis officiel :

La nuit du 14 au 15 avril 1912, tandis que le Titanic
sombrait au beau milieu de son voyage inaugural, un passager descendit
dans sa cabine de première classe, revêtit un smoking et remonta sur le
pont. Au lieu de chercher à sauver sa peau, il alluma un cigare et
attendit la mort.
Le 14 avril 1916, dans les tranchées du mont Fumo, quatre ans jour pour jour après le naufrage du Titanic,
un soldat italien est fait prisonnier. À moins qu’il ne révèle son nom
et son grade, il sera fusillé le lendemain à l’aube. Jacob Roumann,
médecin autrichien, n’a qu’une nuit pour le faire parler. Mais le
prisonnier veut diriger l’interrogatoire. Sa vie, décrète-t-il, tient
non pas à une, mais à trois questions :
« Qui suis-je ?
Qui est Guzman ?
Et qui était l’homme qui fumait sur le Titanic ? »
De
cet instant se noue entre les deux ennemis une alliance étrange autour
d’un mystère qui a traversé le temps et su défier la mort.

Je crois que je ne vais pas faire de résumé à ma sauce car le synopsis juste au-dessus est déjà très complet ! Je ne voudrai pas en dire plus au risque de spoiler ^^ Du coup passons directement à mon avis.
Ce livre de Carrisi n’est absolument pas dans la veine de ses thrillers. Rien à voir ! Ici nous sommes dans une histoire mêlant passé et présent. L’histoire qui début par se que va raconter un prisonnier à son geôlier. L’histoire palpitante d’un personnage, Guzman. Le livre est assez court et on se prend à vouloir répondre aux trois questions du synopsis, comme le veut également Jacod Roumann. J’ai apprécié cette lecture assez facile. Mais comme à mon habitude dans les livres à 2 histoires parallèles, j’ai parfois hâte de savoir la suite d’une histoire plutôt que l’autre. Ici, plutôt celle du présent de 1916. D’ailleurs, il faut être patient avant de comprendre le pourquoi du titre de l’histoire. J’avoue, au final, je m’attendais à vraiment autre chose, mais Carrisi a su quand même porter habilement ce roman noir.

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